Big Brother en parlait, la NSA en rêvait, la TAN l’a fait : Libertan, un «bip» qui en dit long…
Grâce aux puces RFID contenues dans les cartes Libertan, à chacun de nos bip, c’est notre identité qui est enregistrée dans un fichier avec l’heure, la date, le lieu où l’on a bipé, et bien sûr notre numéro de compte en banque. Ces données peuvent être conservées 10 ans. Ainsi, sous prétexte de gérer des flux comme on gère du bétail ou des marchandises, la TAN (en lien avec la police, qui voudra sans doute savoir, par exemple, qui sont et d’où viennent certaines personnes) peut désormais connaître et surveiller totalement l’ensemble de nos déplacements, en temps réel.
Refusons ce fichage généralisé !
Revendiquons le droit de se déplacer anonymement !